Satellite vietnamien

Donner des ailes au rêve de voler dans l'espace !

Simulation du processus d'une fusée japonaise mettant en orbite 9 satellites, dont le NanoDragon vietnamien. (Source : JAXA)

Simulation du processus d'une fusée japonaise mettant en orbite 9 satellites, dont le NanoDragon vietnamien. (Source : JAXA)

Au matin du 9 novembre, après trois reports dus à des raisons météorologiques et techniques, le satellite NanoDragon « made in Vietnam » a quitté la rampe de lancement depuis le Japon, ouvrant une nouvelle voie pour la conquête vietnamienne de l'espace extraterrestre. L’univers, dans l'avenir, ne sera pas si loin pour le Vietnam.

Dans le parcours plein de fierté pour conquérir étape par étape l'espace, le Centre spatial du Vietnam (VNSC) a traversé 10 années d’épreuves pour créer une nouvelle image du Vietnam aux yeux des amis internationaux.

Le professeur agrégé - docteur Pham Anh Tuân, directeur général du VNSC, relevant de l’Académie vietnamienne des sciences et des technologies, a partagé :

Les petits satellites et la stratégie de « départ tardif mais éclairé » du Vietnam

Journaliste : Comment vous sentiez-vous quand le satellite « made in Vietnam » s'est envolé à nouveau ? Cette fois, notre satellite transmet non seulement des signaux à la terre, mais effectue également de nombreuses autres tâches ?

Le professeur agrégé - docteur Pham Anh Tuân : Je me sentais un peu nerveux et inquiet, mais j’avais toujours la bonne conviction que le satellite serait lancé avec succès. La technologie satellitaire n'est pas seulement une industrie de haute technologie, elle comporte également de nombreux risques potentiels dus à l'environnement et au mode de fonctionnement particuliers des satellites. C'est encore plus vrai pour les satellites de recherche comme NanoDragon.

Bien que j'aie assisté à la cérémonie de lancement des satellites PicoDragon et MicroDragon, chaque fois que le satellite vole dans l'espace et envoie un signal à la station au sol, j'ai beaucoup d'émotions mélangées, fière du satellite « made in Vietnam » lancé, mais nous ne pouvons pas nous empêcher de nous inquiéter car nous ne savons pas comment le satellite fonctionnera en orbite. Auparavant, le satellite avait passé de nombreux tests sous la surveillance d'experts en sécurité de lancement de l'Agence japonaise d'exploration aérospatiale (JAXA).

Donner les ailes à votre rêve de voler- Liftoff Your Dream est le slogan du Centre spatial du Vietnam depuis sa création, avec le désir que notre technologie spatiale conquière l’espace immense.

Journaliste : Nous avons des décennies de retard sur le monde en matière de recherche spatiale. Ce retard nous aidera-t-il à « raccourcir » la distance du voyage à la conquête de l'univers ?

Professeur agrégé docteur Pham Anh Tuân : Après de nombreuses années d'études et de recherches en Allemagne, j'ai décidé de retourner au Vietnam. En 2007, lorsque j'ai commencé à participer à la recherche, la conception et la fabrication de satellites afin de mettre en œuvre la « Stratégie de recherche et d'application des technologies spatiales jusqu'en 2020 », j'ai eu une idée pour le développement de la technologie spatiale. Le Vietnam doit avoir un Centre spatial national, qui fabrique des produits complets de haute technologie, tels que la conception et la fabrication de satellites, et qui est un lieu pour former une jeune génération passionnée par l'espace.

Le Centre spatial vietnamien. (Photo : Minh Duy)

Le Centre spatial vietnamien. (Photo : Minh Duy)

Dès sa fondation en 2011, le VNSC a défini sa vision de devenir un « Centre spatial national », et au cours des 10 dernières années, il s'est progressivement développé et a formé quatre piliers principaux : Technologie spatiale ; Applications spatiales ; Sciences spatiales ; Formation et vulgarisation des connaissances de l'Univers.

En 2006, j'ai visité des installations de recherche spatiale américaines et rencontré le professeur Bob Twiggs à l'Université de Stanford, qui est le « père » de l'idée de concevoir et de fabriquer des très petits satellites de la série Cubesat. Il m'a dit :

Vous devriez commencer par fabriquer des satellites Cubesat. La tendance mondiale est de fabriquer des satellites de plus en plus petits, intégrant de nombreuses technologies et aux coûts réduits.

Ceci est à la fois adapté aux conditions du Vietnam et j’ai également beaucoup appris sur la fabrication de satellites modernes de nombreux pays.

En 2007, nous avons commencé à travailler sur les premiers satellites de la série Cubesat avec le soutien technique de l'Agence spatiale japonaise (JAXA). Le premier satellite Cubesat du Vietnam était un modèle technique achevé en 2010. Après cela, nous avons été soutenus par l'Académie vietnamienne des sciences et des technologies (financement de 800 millions de dôngs) pour la conception et fabrication du satellite PicoDragon.

En août 2013, le premier satellite vietnamien nommé PicoDragon a été placé sur la Station spatiale internationale (ISS) par une fusée H2A et un cargo japonais. Après 3 mois sur l'ISS, le satellite PicoDragon a été mis dans l'espace avec 2 satellites américains Cubesat. Nous sommes extrêmement fiers d'avoir obtenu les premiers résultats avec un petit budget, lorsque PicoDragon est le premier satellite « made in Vietnam » à opérer avec succès dans l'espace.

Recherche sur les circuits imprimés des composants du satellite NanoDragon. (Photo : VNSC)

Recherche sur les circuits imprimés des composants du satellite NanoDragon. (Photo : VNSC)


Journaliste : Par rapport au petit rêve initial de disposer d’un satellite « made in Vietnam », jusqu'à maintenant, le Centre a fait plus que cela. Avons-nous progressivement affirmé la position du Vietnam dans la conquête de l'espace ?

Professeur agrégé docteur Pham Anh Tuân : Au cours des 10 dernières années, VNSC a développé avec succès les satellites PicoDragon, MicroDragon et NanoDragon. Le projet de construction du Centre spatial vietnamien et le lancement du satellite LOTUSat-1 sont gérés par VNSC, mettant en œuvre la tâche assignée par le gouvernement pour la « Stratégie pour le développement et l'application des sciences et technologies spatiales d’ici 2030 ».

Le 19 novembre 2013, le microsatellite « made in Vietnam » PicoDragon d'un poids de 1 kg, développé par les jeunes chercheurs et ingénieurs de VNSC, a été mis en orbite. Après cela, les stations au sol de VNSC et d'autres parties du monde ont également capté avec succès des signaux de communication.

Cela peut être considéré comme une étape importante avec PicoDragon devenant le premier satellite développé par le Vietnam à fonctionner avec succès dans l'espace. Le satellite PicoDragon est le premier produit de l'équipe de développement de satellites de VNSC.

Le satellite PicoDragon est monté dans le tube de lancement. (Photo : VNSC)

Le satellite PicoDragon est monté dans le tube de lancement. (Photo : VNSC)

Ensuite, nous avons construit le satellite MicroDragon de 50 kg au Japon. 36 ingénieurs de VNSC ont été envoyés dans 5 grandes universités japonaises pour participer à un programme d’études de master en technologie spatiale, et en même temps participer à la conception, à la fabrication et aux tests du satellite MicroDragon sous la direction directe des professeurs japonais. A travers cette mission, les ingénieurs vietnamiens ont non seulement la possibilité d'acquérir des connaissances de base sur la technologie des satellites, mais aussi de participer directement à la pratique de fabrication de microsatellites, d'accumuler une expérience pratique dans le processus de développement des satellites.

Le satellite MicroDragon a été mis en orbite par la fusée Epsilon 4 le 18 janvier 2019 sur le site de lancement d'Uchinoura, au Japon, et connecté avec succès à la station au sol.

MicroDragon lors des tests à la JAXA. (Photo : VNSC)

MicroDragon lors des tests à la JAXA. (Photo : VNSC)

Après le satellite MicroDragon, depuis 2017, VNSC a recherché et développé un nano-satellite de type cubesat 3U nommé NanoDragon pesant 3,8 kg grâce au financement du « Programme scientifique et technologique de niveau national pour la technologie spatiale pour la période 2016 – 2020 ». L'ensemble du processus de recherche, de conception, de fabrication, d'intégration et lancement et exploitation à titre expérimental du nanosatellite est effectué par le personnel de recherche de VNSC au Vietnam.

Le satellite a deux tâches principales : utiliser un imageur optique pour servir à la validation de la qualité du contrôleur de posture du satellite lorsqu'il opère en orbite et intégrer un récepteur pour l'identification automatique des navires utilisés à des fins de surveillance et de contrôle des moyens en mer.

Simulation du processus d'une fusée japonaise mettant en orbite 9 satellites, dont le Vietnamien NanoDragon. (Le 2e programme de démonstration de technologies satellitaires innovantes de l'Agence aérospatiale japonaise - JAXA).

Simulation du processus d'une fusée japonaise mettant en orbite 9 satellites, dont le Vietnamien NanoDragon. (Le 2e programme de démonstration de technologies satellitaires innovantes de l'Agence aérospatiale japonaise - JAXA).

VNSC gère le projet de fabrication du système satellitaire LOTUSat-1 utilisant la technologie de radar à ouverture synthétique, conçu et fabriqué par le groupe NEC, pesant 570 kg capable de prendre des photos de la terre avec une haute résolution dans toutes les conditions météorologiques, de jour comme de nuit.

Les données d'images obtenues à partir du satellite LOTUSat-1 répondront au besoin urgent de sources d'images, fournissant des informations précises et opportunes pour minimiser les impacts des catastrophes naturelles et du changement climatique, gérer les ressources naturelles et surveiller l'environnement, au service du développement socio-économique. Le satellite LOTUSat-1 devrait être lancé à la fin de 2023.

Graphique de conception de satellite LOTUSSat-1. (Photo : VNSC)

Graphique de conception de satellite LOTUSSat-1. (Photo : VNSC)

feuille de route de développement du satellite « Made in Vietnam » de VNSC. (Source : VNSC)

feuille de route de développement du satellite « Made in Vietnam » de VNSC. (Source : VNSC)

Le Vietnam devrait développer sa propre constellation de satellites d'observation de la Terre

Journaliste : Dans notre ambition de conquérir l'espace, nous avons notre propre objectif de maîtriser l'espace extra-atmosphérique. Sur quelle direction le Vietnam devrait-il se concentrer pour créer nos propres atouts ?

Professeur agrégé Docteur Pham Anh Tuân : Le Vietnam ne peut pas fabriquer toutes sortes de satellites et faire tout ce qui concerne l'espace.

Le Vietnam doit se concentrer sur le développement de petits satellites d'observation de la Terre et sur l'application efficace des images satellitaires.

L'application de la technologie spatiale au VNSC se concentre principalement sur la télédétection et les SIG, en utilisant et en exploitant les données satellitaires d'observation de la Terre pour apporter des avantages économiques, sociaux et de sécurité nationale grâce à des applications déployées dans de nombreux domaines tels que : l'agriculture (pistage du riz , système intelligent de suivi de l'information agricole), la sylviculture (surveille rapide de la déforestation), planification et gestion urbaine (évaluation des changements urbains), gestion des zones côtières (surveillance de l'érosion côtière), réponse aux incidents (surveillance des marées noires), etc. Ces applications sont toutes des résultats de recherche du personnel de VNSC au cours de ces derniers temps, à travers des projets de recherche à tous les niveaux et des sujets de coopération internationale.

Déterminé à se concentrer sur le traitement de grandes données d’images satellites, VNSC a construit le système « Vietnam Data Cube », qui est un système rassemblant près de 100 000 images satellites du territoire du Vietnam, que les partenaires internationaux de VNSC (JAXA, ESA, USGS) autorisent à exploiter gratuitement et à partager pour la communauté de recherche vietnamienne.

Il s'agit de grandes réalisations du processus de coopération internationale de VNSC lorsqu'elle reçoit l'aide de nombreux partenaires internationaux pour équiper un système matériel et logiciel moderne. Dans un avenir proche, le système fonctionnera avec deux applications principales : la surveillance du riz et la surveillance des forêts dans tout le Vietnam et d'autres applications telles que la surveillance des inondations.

Application satellite pour surveiller les forêts, le riz, le CO2,... (Photo : VNSC),...

Application satellite pour surveiller les forêts, le riz, le CO2,... (Photo : VNSC),...


Journaliste : Nous avons l'ambition de maîtriser l'espace en développant davantage de satellites « made in Vietnam ». Quels avantages cette initiative apportera-t-elle au Vietnam?

Professeur agrégé docteur Pham Anh Tuân : La promotion de la technologie spatiale, notamment le développement des satellites, favorisera les domaines de recherche en science et technologie. Quand on détient la maitrise des technologies et qu'on a ses propres satellites, le coût d'investissement pour les données satellitaires sera moins cher et surtout on assurera la sécurité de l'information et sera plus proactif que l'achat de données de satellites étrangers.

Durant ces derniers temps, nous avons été limités par les lois restreignant l'exportation des hautes technologies des pays avancés. Par conséquent, en assurant la maitrise de la technologie et de la sécurité, nous garantirons les secrets nationaux.

Lors que nous maitrisons la fabrication de satellites et le développement d’une constellation de satellites nationaux, nous augmenterons la fréquence d'observation de la Terre sur le territoire vietnamien.

Nous ne pouvons pas non plus dépendre toujours de l'achat de données satellitaires étrangères.

Afin de faire face à des catastrophes ou des urgences, ou dans des zones sensibles contestées, si nous avons notre propre constellation de satellites, nous observerons activement et recevrons des informations plus rapidement, prenant ainsi des stratégies de traitement en temps opportun.

Assemblage du satellite MicroDragon. (Photo : VNSC)

Assemblage du satellite MicroDragon. (Photo : VNSC)

Fabrication de NanoDragon. (Photo : VNSC)

Fabrication de NanoDragon. (Photo : VNSC)

L'équipe de conception et de fabrication de MicroDragon prend une photo de souvenir. (Photo : VNSC)

L'équipe de conception et de fabrication de MicroDragon prend une photo de souvenir. (Photo : VNSC)

Une étape du processus de fabrication du NanoDragon. (Photo : VNSC)

Une étape du processus de fabrication du NanoDragon. (Photo : VNSC)

Le circuit imprimé de la machine vérifiant les positions des satellites. (Photo : Minh Duy)

Le circuit imprimé de la machine vérifiant les positions des satellites. (Photo : Minh Duy)

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Assemblage du satellite MicroDragon. (Photo : VNSC)

Assemblage du satellite MicroDragon. (Photo : VNSC)

Fabrication de NanoDragon. (Photo : VNSC)

Fabrication de NanoDragon. (Photo : VNSC)

L'équipe de conception et de fabrication de MicroDragon prend une photo de souvenir. (Photo : VNSC)

L'équipe de conception et de fabrication de MicroDragon prend une photo de souvenir. (Photo : VNSC)

Une étape du processus de fabrication du NanoDragon. (Photo : VNSC)

Une étape du processus de fabrication du NanoDragon. (Photo : VNSC)

Le circuit imprimé de la machine vérifiant les positions des satellites. (Photo : Minh Duy)

Le circuit imprimé de la machine vérifiant les positions des satellites. (Photo : Minh Duy)

À 7 h 55 et 16 h le 9 novembre, le satellite NanoDragon « made in Vietnam » et 8 autres petits satellites ont été lancés par la fusée Epsilon-5 de l'Agence aérospatiale japonaise (JAXA) au site de lancement d'Uchinoura au Japon.

À 7 h 55 et 16 h le 9 novembre, le satellite NanoDragon « made in Vietnam » et 8 autres petits satellites ont été lancés par la fusée Epsilon-5 de l'Agence aérospatiale japonaise (JAXA) au site de lancement d'Uchinoura au Japon.

On s'attend à ce qu'il y ait dans 10 ans un centre d'observation de la Terre

Examiner la texture de composition de PicoDragon. (Photo : VNSC)

Examiner la texture de composition de PicoDragon. (Photo : VNSC)

Journaliste : Pour donner des ailes au rêve de voir « les satellites vietnamiens s'envoler dans l’espace », dès maintenant, que devons-nous faire ?

Professeur agrégé docteur Pham Anh Tuân : La technologie spatiale progresse très rapidement, ce que le Centre a réalisé est modeste par rapport à nos rêves. Lorsqu'ils ont commencé à fabriquer de petits satellites, certains pays sont également partis du même point de départ que nous, mais maintenant ils disposent des dizaines ou des centaines de petits satellites qui volent dans l'espace. Ceci est principalement dû au fait que notre investissement est encore limité et non ciblé.

Dans le monde actuel, les pays défendent leurs intérêts nationaux dans cinq espaces : la terre, la mer, l'espace aérien, le cyberespace et l'espace extra-atmosphérique.

À l'heure actuelle, nous ne pouvons défendre principalement les intérêts nationaux qu’en 4 espaces, maintenant il est temps d’affirmer l'univers comme le 5ème espace pour protéger les intérêts nationaux.

Nous n'avons investi que 10 milliards de dôngs pour fabriquer des satellites comme NanoDragon, mais il a fait la fierté de la nation. Sans une forte détermination politique et des avancées scientifiques et technologiques, le domaine spatial n'aura aucun succès.

Ce domaine nécessite un investissement et des technologies. Les ressources humaines sont également un problème difficile, le coût de la formation est de près de 6 milliards de dôngs par personne. Il devrait y avoir un mécanisme spécial pour les gens à la pointe de la technologie satellitaire.

Nous prévoyons que dans 10 ans, il y aura un centre national d'observation de la Terre. À ce moment-là, l'ensemble du territoire et de la zone de la Mer Orientale peut être visualisé avec précision et en temps opportun, afin d'intervenir rapidement et efficacement en réponse aux catastrophes naturelles, de développer le socio-économique et d'assurer la sécurité nationale.

Les données collectées à partir des satellites sont des ressources, qui sont immédiatement utilisées et stockées en tant que données nationales.

Le Vietnam perd chaque année environ 1% du PIB, ce qui équivaut à 3,5 milliards de dollars.

Si nous avons une constellation de satellites d'observation nationaux, cela permettra une prévision précoce et plus précise et réduira 


Journaliste : Pour réaliser ce rêve, il faut un long parcours et des successeurs. Que le Centre va faire pour la jeune génération ?

Professeur agrégé docteur Pham Anh Tuân : En 2023, lorsque le Centre spatial du Vietnam sera achevé, nous disposerons suffisamment d'infrastructures pour produire des satellites pesant près de 200 kg. À ce moment-là, l'équipe doit se former et passer progressivement à un niveau supérieur pour être en mesure de maîtriser la technologie de conception et de fabrication de satellites à hautes fonctionnalités applicatives.

En fait, nous ne sommes pas immortels, il faut compter sur les jeunes successeurs.

Afin d'atteindre l'objectif stratégique de développement de la technologie spatiale au Vietnam, les unités de recherche et de développement spatiales qui mettent en œuvre des plans de fabrication de satellites doivent renforcer le développement des ressources humaines futures.

Parallèlement aux plans de développement des satellites, au développement d'applications de technologie spatiale, à la science spatiale - astrophysique, des activités de formation et des programmes de vulgarisation des connaissances sur la science et la technologie spatiale ont également été activement mis en œuvre au Centre spatial du Vietnam pour sensibiliser aux avantages de la technologie spatiale pour le développement durable, susciter la passion et l'envie d'explorer l'espace de la jeune génération.

Démonstration graphique d'une visite du Musée VNSC. (Clip : VNSC)

Démonstration graphique d'une visite du Musée VNSC. (Clip : VNSC)

Merci Professeur agrégé docteur Pham Anh Tuân !

Organisation : VIÊT ANH
Contenu : HÔNG VÂN, THIÊN LAM
Design : MINH DUY, VAN TOAN, TRAN VU HAI
Photos, graphique, clip : VNSC, MINH DUY, VAN TOAN