L’époque des rois Hùng continue de briller dans la mémoire collective du peuple vietnamien, portée par les récits légendaires fondateurs de la nation. Figure à la fois mythique et réelle, les roi Hùng symbolisent les origines profondes du peuple vietnamien. Pourtant, au-delà du mythe, le culte qui lui est rendu est une réalité bien vivante, profondément ancrée dans la conscience nationale. Il exprime l’attachement à la patrie, la fierté de ses racines et surtout, il incarne l’unité spirituelle et culturelle du peuple vietnamien.

Un lieu sacré où convergent les énergies du ciel, de la terre et l’esprit du peuple

Karl Marx affirmait que pour remplir pleinement sa mission historique, un parti révolutionnaire devait réunir deux éléments essentiels : une “tête” et un “cœur”.

La tête, c’est l’intelligence, la pensée, la philosophie – en l’occurrence, la dialectique matérialiste, que Lénine appelait plus tard le matérialisme militant.

Le cœur, c’est l’ardeur, le courage, la responsabilité envers les masses populaires, c’est la lutte contre l’injustice et la barbarie, l’amour du peuple et la défense de l’humanité.

Dans cette perspective, le culte des rois Hùng peut être vu comme le « cœur » du peuple vietnamien – une source d’émotion, de mémoire et de lien communautaire.

Cette idée trouve un écho dans les vers inscrits sur les piliers principaux du portail central du temple des rois Hùng, conçu selon le style traditionnel à quatre colonnes :

Ouvrant la voie, posant les fondations – les quatre coins du pays réunis en un
Regardant au loin depuis les hauteurs – les montagnes se dressent comme les descendants.

Depuis toujours, le paysage autour du temple des rois Hùng est réputé pour sa beauté naturelle, à la fois éclatante et mystérieuse. Situé dans une région semi-montagneuse, ce territoire ancestral offre une grande diversité de reliefs : collines, forêts, rivières, rizières et lacs s’y entrelacent harmonieusement.

Le peuple appelle affectueusement la montagne Nghia Linh « montagne Ca » ou « montagne Hùng ».

Point culminant de la région, elle ne s’élève qu’à 175 mètres au-dessus du niveau de la mer, bien modeste en comparaison des autres monts majestueux.

Mais comme le dit le proverbe :

Une montagne n’a pas besoin d’être haute pour être sacrée, si les immortels y résident ;
Un ravin n’a pas besoin d’être profond pour être mystique, si un dragon s’y cache. 

Ce n’est pas un hasard si la montagne Hùng porte le nom de Nghia Linh — la montagne de la Vertu. Contrairement aux appellations évoquant grandeur ou puissance, ce nom met l’accent sur la signification morale et symbolique du lieu : un espace où se rassemble le sens du devoir, bien au-delà de la simple grandeur physique. 

Selon la légende, Lac Long Quân et Âu Co ont donné naissance à cent enfants à partir d’une poche d’œufs.

Ils se sont ensuite séparés pour construire le pays – cinquante enfants sont allés vers la mer avec leur père, tandis que les autres ont suivi leur mère dans les montagnes.

L’aîné fut couronné roi sous le nom de Hùng Vuong, fondant le royaume de Van Lang avec sa capitale à Phong Châu (actuelle ville de Viêt Tri, province de Phu Tho, au Nord du Vietnam).

Cette légende prouve que tous les Vietnamiens sont de la même origine et étroitement liés par le sang et la chair.

L’ère des rois Hung occupe toujours une position particulièrement importante dans la vie spirituelle du peuple vietnamien.

Parmi les quatre immortels de la spiritualité vietnamienne que sont : Tan Viên (le Génie des Monts), Thanh Giong (le Génie du village de Gióng qui a repoussé les envahisseurs du Nord), Chu Dông Tu (personnage semi-historique), et la Déesse Liêu Hanh consacrée Déesse-Mère, les trois premiers appartiennent à l’ère des rois Hung.

À Phu Tho, il y a deux éléments reconnus par l’UNESCO en tant que patrimoine culturel immatériel de l'humanité, que sont : le « hat xoan » (chant printanier) en 2011 et le culte des rois Hùng en 2012.

Grâce à la pratique du culte des rois Hung, de nombreuses coutumes traditionnelles de la région montagneuse de Nghia Linh se sont transmises de génération en génération. La fête de commémoration des rois Hung est une bonne occasion pour préserver les jeux folkloriques et la culture traditionnelle, dont le « hat xoan ».

Actuellement, la fête de commémoration des rois Hung est devenue une fête culturelle d'envergure nationale, mais ses croyances traditionnelles sont encore bien préservées. Elle attire chaque année un grand nombre de visiteurs venus des quatre coins du pays.

Une croyance traduisant l’identité et la moralité nationale

Le culte des rois Hung n'a pas de nuances religieuses, elle est une caractéristique culturelle unique et incarne la tradition vietnamienne « Quand tu bois de l’eau, pense à la source ».

Elle témoigne également de l’esprit de solidarité, de gentillesse et d’entraide mutuelle du peuple vietnamien. Les rois Hung sont devenus un symbole sacré mais familier, sans qu'il soit nécessaire de justifier leur existence réelle. 

Le peuple appelle toujours les rois Hùng « Đức Tổ » (Ancêtre Suprême), les vénérant avec le même respect que les ancêtres dans leurs foyers, mais à un niveau supérieur.

 Dans de nombreuses localités, depuis de nombreuses générations, il vénère le fondateur de la nation et ses généraux qui ont eu le mérite de protéger le pays et de sauver le peuple.

Sur toute l'étendue du Vietnam, la croyance en la vénération des rois Hùng et des héros de l'époque des rois Hùng est répandue et très familière.

À l'entrée principale du temple Hùng se trouve la grande inscription « Cao sơn cảnh hành » (Montagne haute, chemin large) accueillant les pèlerins avant d'arriver au temple Hạ, puis au temple Trung et enfin au temple Thượng. Ces quatre caractères chinois sont tirés de deux vers du Kinh Thi : « Cao sơn ngưỡng chỉ / Cảnh hành hành chỉ ». Ce qui signifie : La haute montagne est faite pour être admirée, le grand chemin est fait pour être parcouru.

Fête du temple Hung.

Fête du temple Hung.

Le grand chemin implique que le peuple doit avancer ensemble, agir ensemble, et partager les mêmes volontés.

Le chemin spirituel qui mène à la gratitude envers les mérites des ancêtres est aussi le chemin de l'unité, le chemin de la prière pour la paix du pays, la prospérité du peuple et l'abondance des récoltes.

L'époque lointaine des rois Hùng n'a pas laissé de patrimoine écrit, mais le peuple vietnamien s'est transmis oralement des récits pour se rappeler et être fier des nobles qualités de sa nation, exprimées à travers les légendes.

Le lien du sang, de l'affection à travers la légende des lignées familiales nées de la centaine d'œufs de la Mère Âu Cơ. Les Vietnamiens s'appellent toujours « đồng bào ». Littéralement, « đồng bào » signifie « même sac » ou « même utérus » et fait référence aux frères et sœurs ayant le même père et la même mère (selon la légende d'Au Co-Lac Long Quan donnant naissance à une centaine d'enfants à partir d'un œuf).

La conscience populaire se souvient et transmet toujours les belles légendes sur les personnages à la fois saints et humains du début de la fondation de la nation : Son Tinh (Génie des montagnes), Thuy Tinh (Génie des cours d’eau) ; le prince Lang Liêu qui a créé « le banh chung » (gâteau de riz gluant carré) et « le banh day » (galette de riz gluant); le Génie-Giong (Thanh Giong - Phu Dông Thiên Vuong) combattant l'ennemi sans attendre de grandir ; et le pêcheur Chu Dông Tu et la princesse Tiên Dung, fille du 18e roi Hùng se rencontrant d'une manière étrange, comme un mariage arrangé par le ciel... sont les légendes scintillantes qui font l'identité vivante et attrayante de la civilisation vietnamienne. 

Regarder profondément à travers le voile du temps, à travers la brume mystérieuse des légendes, permet de voir bien des choses significatives : la volonté de lutter contre les catastrophes naturelles et les inondations dans l’histoire de Sơn Tinh (le génie des montagnes), la résistance à l’invasion incarnée par le génie Giong (héros du village de Phù Dông) ; l’esprit de travail et de créativité pour survivre et se développer dans la légende du fruit de pastèque de Mai An Tiêm ; le respect du travail et de l’innovation dans l’histoire des gâteaux bánh chưng et bánh dày du prince Lang Liêu ; et l’amour pur transcendant les barrières sociales entre la princesse Tiên Dung et l’homme pauvre Chu Dông Tu. 

Le peuple, autrefois comme aujourd’hui, croit sincèrement qu’il est descendant des rois Hùng. Rechercher des preuves concrètes, déterminer la date les événements pour dresser un tableau scientifique de l’aube de la fondation du pays à l’époque des rois Hùng est le travail des archéologues et des historiens. Mais la foi populaire n’a pas besoin de ces preuves scientifiques. Le peuple sait simplement qu’il n’a jamais vénéré quelqu’un par erreur.

Nourrir la conscience de la souveraineté nationale

À l’époque des rois Hùng, la souveraineté sur un territoire distinct a été affirmée très tôt, avec ses montagnes et rivières, ses coutumes propres et une culture déjà bien formée.

 L’histoire ne conserve pas de documents écrits précis sur cette époque, mais il reste des traces de la brillante civilisation Dông Son, avec de nombreux objets en bronze magnifiques et mystérieux.

Pourtant, depuis des milliers d’années, la fierté envers les rois Hùng reste profondément ancrée dans le cœur des Vietnamiens et se transmet de génération en génération.

L’époque des rois Hùng et la formation du tout premier État marquent l’apparition précoce d’une ancienne culture sur le territoire vietnamien.

Ensuite, le royaume d’Âu Lac dirigé par An Duong Vuong, avec pour capitale la citadelle de Cô Loa, a confirmé l’existence d’un pouvoir local sur un territoire indépendant, situé entre les vallées du fleuve Rouge et de la rivière Ma. 

La prise de conscience profonde de la souveraineté nationale, caractéristique la plus importante de l'identité culturelle vietnamienne et la raison de vivre du peuple vietnamien à travers des milliers d'années d'histoire, a créé une volonté persistante de lutter de génération en génération - de se soulever et d'être réprimé, puis de continuer à se soulever jusqu'à ce que l'indépendance soit retrouvée, même si ce parcours doit durer des milliers d'années avec de nombreux sacrifices.

Le soulèvement des sœurs Trung a ouvert les pages glorieuses de la lutte pour l’indépendance et la liberté. La flamme héroïque allumée par ce soulèvement ne s’est jamais éteinte.

L’histoire fera à jamais écho aux combats héroïques des célèbres chefs du soulèvement : Triêu Thi Trinh, Ly Bon, Triêu Quang Phuc, Mai Thuc Loan, Phung Hung, Khuc Thua Du et Duong Dinh Nghê.

Les soulèvements populaires ont interrompu à plusieurs reprises la domination étrangère. Avec la victoire de Bach Dang, Ngo Quyên et le peuple du Dai Viet ont noyé le joug de domination de longue date sous le fleuve de l'histoire, amenant la nation dans la première Renaissance, ouvrant une ère de développement de la culture et de la civilisation du Dai Viet indépendantes et autonomes.

Les sœurs Trung combattant l'ennemi, peinture populaire de Dong Ho.

Les sœurs Trung combattant l'ennemi, peinture populaire de Dong Ho.

Du chatoiement légendaire de l'arrachage du bambou pour combattre les envahisseurs à l'époque du Roi Hung, en suivant l'esprit des sœurs Trung, les dynasties Ngo, Dinh, Tiên Lê, Ly, Trân... se sont succédées avec la conscience de « être maitre du pays ».

Cet esprit, cette volonté crée la force de vaincre tous les envahisseurs. Cet esprit et cette volonté ont non seulement créé une détermination indomptable, mais ont également forgé des gens très intelligents et créatifs dans le combat et la victoire, même s'ils ont toujours dû « utiliser les quelques-uns pour combattre les nombreux », « utiliser les faibles pour combattre les forts », mais ils ont continuellement causé aux envahisseurs une surprise après l'autre.

L’œuvre de construction de la nation des rois Hung a été rappelée par le Président Hô Chi Minh aux soldats de la 308e division au temple des rois Hung le 19 septembre 1954, avant que l'armée ne marche pour prendre le contrôle de la capitale : « Les rois Hung ont eu le mérite de fonder le pays, c'est à nous de le défendre ».

Le Président Hô Chi Minh cause avec les combattants du Régiment de la Capitale au temple des Rois Hùng (à Phu Tho) en 1954.

Le Président Hô Chi Minh cause avec les combattants du Régiment de la Capitale au temple des Rois Hùng (à Phu Tho) en 1954.

Poursuivant la tradition glorieuse des ancêtres, le peuple vietnamien a résolument défendu l’indépendance, la liberté et la souveraineté nationale, menant des luttes acharnées et remportant de brillantes victoires contre les armées d’invasion les plus puissantes et féroces du XXe siècle au cours des deux guerres de résistance durant trente ans, avant de continuer à protéger l’intégrité des frontières nationales au sud-ouest et au nord du pays. 

Comme un fleuve qui coule sans fin à travers les générations, comme des racines qui se répandent et s'enfoncent profondément dans la terre de la patrie, la tradition de l'unité nationale demeure ancrée dans la vie quotidienne à travers tout le pays, imprégnant profondément chaque Vietnamien.

La guerre du peuple vietnamien ne se menait pas seulement sur les fronts militaires et politiques, mais aussi sur le terrain diplomatique.

À chaque victoire contre les envahisseurs, l'État Dai Viêt a toujours pris l'initiative de rétablir les relations diplomatiques entre les deux pays.

L'histoire de notre peuple regorge de nombreux témoignages qui prouvent notre détermination absolue à défendre chaque parcelle de notre terre sacrée, tout en aspirant sans relâche à la paix.

Ce comportement incarne une tradition profonde, reflétant l'identité et la force d'un peuple héroïque et humaniste. 

Pour protéger la patrie, le peuple vietnamien n'a pas édifié une Grande Muraille, aux prix d’efforts et de sacrifices des millions de vies humaines.

Cependant, il a construit sa propre 'Grande Muraille' avec son amour profond pour la nation et son esprit humaniste. 

Le peuple vietnamien a condamné l'acte naïf et imprudent de My Châu, qui a divulgué des secrets d'État, rendant ainsi l'arme 'technologique' supérieure inefficace.

 Cependant, il éprouve encore de la compassion pour cette jeune femme, qui a vécu avec des sentiments sincères et une fidélité profonde envers son mari.

Lorsque les envahisseurs sont arrivés, le peuple s'est uni pour les chasser, mais lorsque la volonté d'invasion de l'ennemi a été écrasée et qu'il a été contraint de déposer les armes et de « rechercher la paix », le peuple Dai Viet, avec sa générosité et sa magnanimité, a été prêt à « ouvrir la voie à la vie à eux» pour « mettre fin à la guerre pour toujours ». (Nguyên Trai).

Lorsque les envahisseurs sont vaincus, la population est assidue et laborieuse pour reconstruire la vie. « Les armes et les épées sont rangées, la paix est revenue comme avant » (Nguyên Dinh Thi), les villages du Vietnam sont à nouveau paisibles, avec une longue tradition de solidarité et d'entraide.

Facteurs durables et puissance illimitée

Au Vietnam, l’esprit communautaire et le patriotisme deviennent les conditions de survie et la vitalité éternelle du peuple vietnamien et de la nation vietnamienne face à tous les défis.

En raison des conditions géographiques, des catastrophes naturelles se produisent souvent. Pour surmonter les catastrophes naturelles, la construction des digues nécessite la force de la communauté, et les efforts conjoints des familles et du village.

Les Vietnamiens placent les intérêts de la communauté au-dessus des intérêts personnels, les intérêts nationaux au-dessus des intérêts familiaux et locaux.

Chaque individu se sent heureux lorsqu'il vit au milieu de l'amour de la famille, du village et de la Patrie, la chose la plus douloureuse est d'être séparée de la communauté. L’esprit communautaire est fermement renforcé par des us et coutumes qui se perpétuent de génération en génération.

Dans de nombreux endroits, au cours des étapes du développement, certains us et coutumes ont été « codifiés » dans les conventions villageoises, devenant des normes de comportement de la communauté.

Il s’agit des règlements sur la culture du riz commune, des accords sur l’entraide dans la construction des maisons, et des règles de la vie quotidienne familiale et villageoise.

De nombreux produits de l’intelligence et des mains talentueuses sont également créés à partir de points de vue et de thèmes sur la communauté.

Sans cet esprit de solidarité et d’effort, sans cet esprit de diligence et de créativité dans le travail transmis par nos ancêtres, nous ne pourrions pas avoir le pays tel qu’il est aujourd’hui, nous ne pourrions pas affirmer notre caractère national.

L’union est un facteur primordial, déterminant pour forger la force menant à la victoire.

Cette vérité a été confirmée à de nombreuses reprises à travers l’histoire du peuple vietnamien.

L’histoire de la lutte pour l’indépendance nationale du Vietnam a démontré qu’un pays de superficie modeste, à la population peu nombreuse, aux ressources économiques et militaires bien moindres que celles de l’ennemi, a su maintenir sa souveraineté grâce à l’union, en rassemblant ses forces pour triompher de toutes les tentatives d’invasion. 

Le sens de la communauté se manifeste de manière concentrée à travers la tradition de solidarité face aux catastrophes naturelles et dans la défense du pays. L’esprit d’union, conjugué aux qualités de bravoure, d’ingéniosité, de persévérance et d’humanité, constitue l’essence même de l’identité du peuple vietnamien.

Ce sens profond de la communauté et ses résultats dont nous pouvons être fiers ont été cristallisés par le Président Hô Chi Minh dans la célèbre devise : « Solidarité, solidarité, grande solidarité – Succès, succès, grand succès », érigée en principe suprême dans l’accomplissement des missions révolutionnaires. 

Dans cette nouvelle ère, l’œuvre de construction d’un Vietnam prospère, occupant une position digne au sein de la région et dans le monde, exige de continuer à renforcer et à valoriser le bloc de grande union nationale, solide et élargi, afin de mobiliser toutes les ressources intérieures et extérieures, et de saisir au mieux les opportunités historiques.

Nous nous trouvons à un tournant majeur, porteur d’une grande opportunité pour faire entrer le pays dans une nouvelle époque, édifier avec succès un Vietnam riche, puissant, démocratique, équitable et civilisé, avec pour objectif d’ici le milieu du XXIe siècle de devenir un pays développé à revenu élevé, concrétisant ainsi la volonté du Président Hô Chi Minh et les aspirations de tout le peuple.

Pour atteindre cet objectif, il est essentiel de raviver avec force le patriotisme, l’aspiration à se dévouer pour la nation, la volonté d’autonomie, la confiance en soi, l’esprit d’autodétermination, de résilience et de fierté nationale ; de promouvoir la puissance immense du grand bloc d’union nationale, et de conjuguer la force de la nation avec celle de notre époque, ce qui revêt une importance stratégique fondamentale.
Secrétaire général du PCV Tô Lâm.

E-Magazine | Nhandan.vn
Publication : le 7 avril 2025
Contenu : Vuong Anh
Dessin : Van Thanh